À propos de Tolix
EN SAVOIR PLUS SUR TOLIX
La chaise A est devenue une icône de l’esthétique industrielle. Sa popularité indéfectible depuis 1934 l’a fait entrer dans les collections du Vitra Design Museum, du MoMa et du Centre Pompidou. Ce siège mythique en tôle emboutie s’est imposé « par sa solidité à toute épreuve, sa légèreté inégalée, sa propreté facile à garder », avantages indéniables auxquels venait s’ajouter celui du « prix réduit ».
Tout le mérite revient à Xavier Pauchard (1880 – 1948) qui fut un pionnier de la galvanisation en France. Basé en Bourgogne, à Autun, il se révèle au lendemain de la Grande Guerre, un entrepreneur visionnaire et inventif à la tête d’une florissante manufacture d’articles ménagers en tôle galvanisée qui sont à l’époque l’incarnation du confort ménager. C’est en 1927 qu’il dépose le nom Tolix au moment où il se convertit à la « production de sièges, fauteuils, tabourets, meubles métalliques ». Inoxydables, robustes, empilables, les différents modèles imaginés par Xavier Pauchard trouvent d’emblée leur place à l’intérieur des ateliers, des bureaux, des hôpitaux mais également, en plein air, à la terrasse des cafés et dans les jardins publics. Embarquées à bord du paquebot Normandie en 1935, ces chaises peuplent aussi les allées de l’Exposition Internationale des Arts et Techniques en 1937. Un mobilier pour enfants voit le jour en 1935, sous l’étiquette « La Mouette ». À la fin des années 1950, alors que son fils Jean lui a succédé, Tolix et ses quatre-vingts ouvriers fabriquent près de 60 000 unités par an. Cette entreprise longtemps prospère est restée dans la famille jusqu’en 2004.
On doit la renaissance de la marque Tolix à Chantal Andriot. C’est par passion et fidélité à l’entreprise que cette ex-directrice financière s’est lancée dans l’aventure et a racheté Tolix. Seule femme dans un univers d’hommes, elle a su redonner du souffle à cette manufacture experte en mobilier utilitaire, en perpétuant la double exigence de qualité et d’innovation. Aujourd’hui, la moitié du chiffre d’affaires de Tolix est réalisée à l’export, dont la moitié pour les seuls États-Unis.
À ce jour, l’entreprise s’est agrandie et s’est dotée de nouveaux procédés de fabrication préservant l’environnement et a investi dans des machines numériques ultra-performantes qui accompagnent toujours les nombreuses opérations manuelles et l’outillage hérité de l’histoire.
C’est avec une vraie légitimité que Tolix a d’ailleurs reçu en 2006, le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » qui a été renouvelé en janvier 2012 par Monsieur le Secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises, venu en personne récompenser cette entreprise du fait de l’excellence de son savoir-faire.
Cette distinction prouve que Tolix continue à véhiculer aujourd’hui encore les valeurs d’authenticité, de technicité et de performance de sa fabrication ainsi que son attachement aux qualités esthétiques et au territoire.
La chaise A est devenue une icône de l’esthétique industrielle. Sa popularité indéfectible depuis 1934 l’a fait entrer dans les collections du Vitra Design Museum, du MoMa et du Centre Pompidou. Ce siège mythique en tôle emboutie s’est imposé « par sa solidité à toute épreuve, sa légèreté inégalée, sa propreté facile à garder », avantages indéniables auxquels venait s’ajouter celui du « prix réduit ».
Tout le mérite revient à Xavier Pauchard (1880 – 1948) qui fut un pionnier de la galvanisation en France. Basé en Bourgogne, à Autun, il se révèle au lendemain de la Grande Guerre, un entrepreneur visionnaire et inventif à la tête d’une florissante manufacture d’articles ménagers en tôle galvanisée qui sont à l’époque l’incarnation du confort ménager. C’est en 1927 qu’il dépose le nom Tolix au moment où il se convertit à la « production de sièges, fauteuils, tabourets, meubles métalliques ». Inoxydables, robustes, empilables, les différents modèles imaginés par Xavier Pauchard trouvent d’emblée leur place à l’intérieur des ateliers, des bureaux, des hôpitaux mais également, en plein air, à la terrasse des cafés et dans les jardins publics. Embarquées à bord du paquebot Normandie en 1935, ces chaises peuplent aussi les allées de l’Exposition Internationale des Arts et Techniques en 1937. Un mobilier pour enfants voit le jour en 1935, sous l’étiquette « La Mouette ». À la fin des années 1950, alors que son fils Jean lui a succédé, Tolix et ses quatre-vingts ouvriers fabriquent près de 60 000 unités par an. Cette entreprise longtemps prospère est restée dans la famille jusqu’en 2004.
On doit la renaissance de la marque Tolix à Chantal Andriot. C’est par passion et fidélité à l’entreprise que cette ex-directrice financière s’est lancée dans l’aventure et a racheté Tolix. Seule femme dans un univers d’hommes, elle a su redonner du souffle à cette manufacture experte en mobilier utilitaire, en perpétuant la double exigence de qualité et d’innovation. Aujourd’hui, la moitié du chiffre d’affaires de Tolix est réalisée à l’export, dont la moitié pour les seuls États-Unis.
À ce jour, l’entreprise s’est agrandie et s’est dotée de nouveaux procédés de fabrication préservant l’environnement et a investi dans des machines numériques ultra-performantes qui accompagnent toujours les nombreuses opérations manuelles et l’outillage hérité de l’histoire.
C’est avec une vraie légitimité que Tolix a d’ailleurs reçu en 2006, le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » qui a été renouvelé en janvier 2012 par Monsieur le Secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises, venu en personne récompenser cette entreprise du fait de l’excellence de son savoir-faire.
Cette distinction prouve que Tolix continue à véhiculer aujourd’hui encore les valeurs d’authenticité, de technicité et de performance de sa fabrication ainsi que son attachement aux qualités esthétiques et au territoire.
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