À propos de Mathieu Lehanneur
EN SAVOIR PLUS SUR MATHIEU LEHANNEUR
Profil
Objets thérapeutiques, design de l’invisible, ergonomie du désir,.. Depuis 10 ans, Mathieu Lehanneur jongle avec les contradictions pour produire un design qui dépasse régulièrement les bornes du design et attire l’attention des rédactions et clients prestigieux du monde entier. Lehanneur est un créateur d’objets icones qui résument immédiatement une époque, un lieu ou une marque. Un sens de la réponse la plus captivante à chaque problème posé qui le place aujourd’hui aux côtés des grands designers raconteurs de l’histoire permanente entre l’homme et ses objets. Mathieu Lehanneur renoue donc avec un design simplement bon et utile en se référant à l’histoire naturelle plus qu’à l’histoire du design; pour lui l’utilisateur est avant tout un corps, un lieu d’échange chimique dont la physiologie est à prendre en charge pour répondre à ses besoins, ses désirs, ou ses émotions. Une prise en compte intuitive ou bien réelle, vérifiée parfois même avec l’aide de scientifiques et médecins pour inventer de nouvelles ergonomies face à nos enjeux tangibles: mieux respirer, mieux dormir, mieux aimer, mieux vivre.
Une exploration des possibilitées naturelles et technologiques qui lui permettent de produire des objets aussi fonctionnels que magiques, à la fois étranges et amicaux. Diplômé de l’ENSCI- Les Ateliers en 2001, son tout premier projet explore les améliorations de la prise de médicaments en intégrant les résistances mentales du patient. Intitulés «Objets thérapeutiques», ces médicaments dont le design propose un nouveau rituel apte à maximaliser le traitement font aujourd’hui partie de la collection permanente du MoMA. Il s’est révélé au niveau international avec la série « Elements » (Carte Blanche VIA 2006) et le système de filtration par les plantes « Bel Air » (2007), six objets composant une gamme de « Health Angels » domestiques qui visent à rééquilibrer nos carences physiologiques (comme le manque de lumière en hiver) et contrecarrer les agressions urbaines (pollution sonore et pollution de l’air). Édité par Le Laboratoire sous le nom d’ «Andrea», Bel Air est aujourd’hui un succès commercial avec plus de 10 00 exemplaires vendus en six mois, récompensé en 2008, par le Best Invention Award décerné par le magazine Popular Science. Deuxième français, après Philippe Starck, invité à la prestigieuse TED conférence, il passe avec le même bonheur de l’objet pour la Carpenters Workshop Gallery (Londres) ou pour Schneider Electric au packaging pour Issey Miyake et surtout à l’architecture intérieure en réalisant par exemple en 2009 le bureau personnel de David Edwards, scientifique et businessman survolté pour lequel il conçoit une véritable salle de musculation intellectuelle apte à recevoir la profusion des idées. Depuis, Cartier, Nike, Yohji Yamamoto, le Centre Pompidou pour lequel il réalise deux espaces ou l’Eglise de Melle dans les Deux Sèvres ont fait appel à lui en saluant sa capacité unique à se saisir du contexte pour mieux le rouler sur lui même et produire une architecture symbolique et fonctionnelle. Il vient de recevoir le prix de l’Intelligence de la main décerné par la Fondation Bettencourt-Schueller pour sa série de jarres en céramique intitulées «L’âge du monde».
Profil
Objets thérapeutiques, design de l’invisible, ergonomie du désir,.. Depuis 10 ans, Mathieu Lehanneur jongle avec les contradictions pour produire un design qui dépasse régulièrement les bornes du design et attire l’attention des rédactions et clients prestigieux du monde entier. Lehanneur est un créateur d’objets icones qui résument immédiatement une époque, un lieu ou une marque. Un sens de la réponse la plus captivante à chaque problème posé qui le place aujourd’hui aux côtés des grands designers raconteurs de l’histoire permanente entre l’homme et ses objets. Mathieu Lehanneur renoue donc avec un design simplement bon et utile en se référant à l’histoire naturelle plus qu’à l’histoire du design; pour lui l’utilisateur est avant tout un corps, un lieu d’échange chimique dont la physiologie est à prendre en charge pour répondre à ses besoins, ses désirs, ou ses émotions. Une prise en compte intuitive ou bien réelle, vérifiée parfois même avec l’aide de scientifiques et médecins pour inventer de nouvelles ergonomies face à nos enjeux tangibles: mieux respirer, mieux dormir, mieux aimer, mieux vivre.
Une exploration des possibilitées naturelles et technologiques qui lui permettent de produire des objets aussi fonctionnels que magiques, à la fois étranges et amicaux. Diplômé de l’ENSCI- Les Ateliers en 2001, son tout premier projet explore les améliorations de la prise de médicaments en intégrant les résistances mentales du patient. Intitulés «Objets thérapeutiques», ces médicaments dont le design propose un nouveau rituel apte à maximaliser le traitement font aujourd’hui partie de la collection permanente du MoMA. Il s’est révélé au niveau international avec la série « Elements » (Carte Blanche VIA 2006) et le système de filtration par les plantes « Bel Air » (2007), six objets composant une gamme de « Health Angels » domestiques qui visent à rééquilibrer nos carences physiologiques (comme le manque de lumière en hiver) et contrecarrer les agressions urbaines (pollution sonore et pollution de l’air). Édité par Le Laboratoire sous le nom d’ «Andrea», Bel Air est aujourd’hui un succès commercial avec plus de 10 00 exemplaires vendus en six mois, récompensé en 2008, par le Best Invention Award décerné par le magazine Popular Science. Deuxième français, après Philippe Starck, invité à la prestigieuse TED conférence, il passe avec le même bonheur de l’objet pour la Carpenters Workshop Gallery (Londres) ou pour Schneider Electric au packaging pour Issey Miyake et surtout à l’architecture intérieure en réalisant par exemple en 2009 le bureau personnel de David Edwards, scientifique et businessman survolté pour lequel il conçoit une véritable salle de musculation intellectuelle apte à recevoir la profusion des idées. Depuis, Cartier, Nike, Yohji Yamamoto, le Centre Pompidou pour lequel il réalise deux espaces ou l’Eglise de Melle dans les Deux Sèvres ont fait appel à lui en saluant sa capacité unique à se saisir du contexte pour mieux le rouler sur lui même et produire une architecture symbolique et fonctionnelle. Il vient de recevoir le prix de l’Intelligence de la main décerné par la Fondation Bettencourt-Schueller pour sa série de jarres en céramique intitulées «L’âge du monde».
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